Si maintenant j’oublie mon île
Présentation du roman
Peu nombreux se souviennent d’une chanson de Mike Brant intitulée Un grand bonheur. C’est un seul vers de cette chanson, « Si maintenant j’oublie mon île », qui a touché Serge Airoldi au point de prendre la plume et de la laisser aller au gré des émotions que lui inspirait l’histoire personnelle de Moshé Brand.
L’auteur était enfant au moment du suicide de la star. Il a ressenti la nécessité de revenir sur le parcours meurtri qui va de Moshé Brand, l’enfant du rêve israélien, à Mike Brant, la star de variété des années 1970, jusqu’à son suicide en 1975.
Sous le texte attachant et poétique de Si maintenant j’oublie mon île, Serge Airoldi fait redécouvrir la fragilité d’un homme à qui tout réussissait.
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Dans la presse
« Un chant funèbre apparemment aux antipodes de l’univers de la vedette disparue, et pourtant en fusion totale avec la catastrophe originelle » (Marine Landrot). Lire toute la chronique.
« Un travail de poète inquiet qui cherche à » apprivoiser avec force caracole, serpentine et demi-volte » l’orage où nous naissons, chantons, mourrons. » (Claro) Lire toute la chronique.
« Mike Brant devient, sous la plume de Serge Airoldi, un personnage mythologique. » (Claire Julliard). Lire toute la chronique.
« Le lyrisme de l’auteur de ce tombeau, ses références savantes, ne l’empêhcnet pas d’être bouleversé par le chanteur. » (Claire Devarrieux). Lire toute la chronique.
« Par ce récit étrange et envoûtant, l’auteur autopsie le destin tragique du chanteur » (Jean-Claude Raspiengeas). Lire toute la chronique.
« De feux comme de destruction, il est souvent question dans ces pages ouvertes sur le Temps et sur le monde. » (Norbert Czarny). Lire toute la chronique.
« Serge Airoldi jette des ponts au-dessus de l’abîme, creuse des souterrains qui débouchent sur des gouffres. » (Gérard Lefort). Lire toute la chronique.
« Un livre sensible en forme de lettre à l’homme disparu qui réinscrit l’histoire de sa vie dans celle de la Shoah. » (Ariane Singer). Visionner tout l’interview.
« Digressif à souhait mais porté par une langue ailée » (Pierre Assouline). Lire toute la chronique.
« On se laisse emporter, sans toujours savoir où. » (Marie-Anne Georges). Lire toute la chronique.
« Si maintenant j’oublie mon île propose une réflexion à ‘sauts et gambades’ ». Lire toute la chronique.
« Le voyage est captivant. En une grosse heure, le lecteur, qui ne pourra quitter l’ouvrage, cheminera dans la vie d’un homme et d’un siècle, tout simplement. » (David Rofé-Sarfati). Lire toute la chronique.
« Serge Airoldi livre une brûlante et brillante spéculation sur le Mal, sur ce qui constitue l’histoire d’un homme telle qu’on la raconte. » Lire toute la chronique.
« Une écriture en volutes. » (Jean-Luc Terradillos). Lire toute la chronique.
« Si maintenant j’oublie mon île est un livre hanté, que structurent de vertigineux souvenirs, donnant à réfléchir sur la nature même du mal, du temps, et des chutes jalonnant notre vie. » (Fabien Ribéry). Lire toute la chronique.
« Ce roman, par-delà son élégance et sa pudeur strictement formelles, est une prodigieuse réflexion sur l’écriture, le rapport au sacré mais aussi sur la place de la parole et de son inévitable versant, le silence. » (Mikaël Gómez Guthart). Lire toute la chronique.
« Un récit poignant au lyrisme érudit » (Marie Robert). Lire toute la chronique.
« Un texte puissant sur l’histoire et le tragique » (Nicolas Espitalier). Lire toute la chronique.
« Texte poétique et puissant » (François Bordes). Lire toute la chronique.
« Un monologue doublé d’un exercice d’admiration pour « Moshé » Brant, comme un chant poétique » (Carol Binder). Lire toute l’interview.
« on l’ouvre et on ne peut plus s’empêcher de le dévorer une fois qu’on l’a commencé » (Margot). Lire toute la chronique.