Secret de Polichinelle
Yonatan Sagiv
roman policier traduit de l’hébreu par Jean-Luc Allouche, 480 p. 23,50 €
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Présentation du roman
Smadar Tamir, l’une des femmes d’affaires les plus riches d’Israël, s’est jetée par la fenêtre d’un hôpital de Tel-Aviv. Sa soeur, Mira, ne croit pas à la thèse du suicide et fait appel au détective privé, Oded Héfer. Homosexuel, parlant de lui au féminin, il vient de s’improviser détective pour gagner sa vie.
Oded Héfer n’a que cinq jours pour mener l’enquête. Aussi débutant soit-il, il n’hésite pas à affronter les magnats israéliens, armé de son intelligence et d’un tantinet d’espièglerie. Cela lui sera nécessaire pour supporter les propos macho et homophobes du commissaire de police. Sans l’empêcher de continuer à rechercher le grand amour sur les sites de rencontres gay.
Roman fin et divertissant, souvent drôle, Secret de Polichinelle joue avec les codes du roman policier tout en plongeant le lecteur dans la société de Tel-Aviv et de ses magnats des affaires, peu traités jusque-là en littérature.
Secret de Polichinelle est le premier d’une série où l’on retrouvera le détective privé Oded Héfer.
Dans la presse
« Un premier roman pétaradant » (Hubert Prolongeau) Lire toute la chronique.
« Un récit mordant sur l’univers LGBT israélien » (Ariane Singer) Lire toute la chronique.
» Un premier roman aussi noir que drôle » (Alexandra Schwartzbrot) Lire toute la chronique.
« Secret de Polichinelle, de Yonatan Sagiv, c’est un peu Priscilla folle du désert en Israël. Columbo en mode LGBT… » (Guillaume Chérel) Lire toute la chronique.
« Yonatan Sagiv maîtrise déjà, en un seul roman, l’art des fausses pistes et du final inattendu » (Évadez-moi) Lire toute la chronique.
« L’auteur a le génie de brouiller constamment les pistes, de nous entraîner dans des certitudes qui nous échappent aussitôt… » (Michèle Lévy) Lire toute la chronique.
« Que voilà un peu de fraîcheur polardeuse qui fait du neuf avec du vieux ! Et ceci est un vrai compliment. » (Garoupe) Lire toute la chronique.
« Ce roman policier emprunte donc quelques pattes à Agatha Christie et à Woody Allen… oui, j’ai eu l’impression par moment d’être dans un de ses films avec les nombreux doutes et turpitudes du personnage principal, le tout avec humour » (Delphine Leroy) Lire toute la chronique.