Le nez juif
Présentation du roman
Dans ce court roman très enlevé, Aleph, le narrateur, se présente comme un anti-héros, une sorte de Woody Allen inversé.
Depuis tout petit, sa mère lui répète : « T’es moche, j’espère que tu te referas le nez quand tu grandiras. Et en plus tu ressembles à un juif. » Mais Aleph sort en boîte, séduit les filles, se fait des amis. Il s’engage, il voyage. Beaucoup au Liban. Il tombe amoureux, se retrouve dans le cinéma et rien ne se passe jamais comme prévu.
Entre Paris et Beyrouth, la Palestine et Israël, le Hezbollah et le Mossad, Aleph doit faire des choix. Arabe sous une peau de Juif, il est en quête permanente d’identité.
Dans la presse
« Le jeune homme s’amuse de son identité orientale qu’il tord dans tous les sens » (Joséphine Hobeika). Lire la chronique complète.
« Sous un ton léger, une autodérision qui monte en gravité dans la dernière partie, Le nez juif pose des questions très compliquées, avec un humour à la fois sensible et sans complexe » (Véronique Rossignol) Lire la chronique.
Les tribulations d’un garçon non conformiste. Visionner l’interview.
« À la fois drôle et émouvant, Le nez juif confirme qu’il n’est jamais facile d’être considéré comme un vilain petit canard » (Sophie Masson). Lire la chronique.
« Sabyl Ghoussoub a du nez » (Philippe Courroux). Lire la chronique.
Dans l’émission Versus-livre avec Marlène Mitrailler. Écouter l’émission.
« Sabyl Ghoussoub nous fait penser à Woody Allen« . Lire tout l’entretien.
« Un roman très drôle, écrit sous forme de petites extrêmement brèves » (Michel Zlotowski). Visionner l’entretien.
« J’aime me réveiller tôt, très tôt et écrire à l’aube en buvant du café italien, parfois trop. Il m’arrive souvent de finir par danser seul au salon tellement j’en ai bu. Je danse, j’écris. J’écris, je danse« . Lire tout l’entretien.
« Un roman dense, subtil, parfois drôle » (Corentin Breton). Lire toute la chronique.
« Entre ‘Portnoy et son complexe’ du regretté Philip Roth et les frasques existentielles de Woody Allen, le Franco-Libanais Sabyl Ghoussoub signe un premier roman qui déjoue les assignations identitaires. Désopilant » (Veneranda Paladino). Lire toute la chronique.
» Le nez juif, c’est aussi et surtout l’acceptation de la différence par le biais de son incarnation, pour celui qui la vit dans sa chair, et d’admettre en guise de conclusion : « Seuls les livres pouvaient me réconcilier avec les hommes. » » (Sandrine Meslet). Lire toute la chronique.