L’étrange journée de Raoul Sévilla
Présentation du roman
Paris, 1960. Raoul Sévilla, élève d’un collège de la périphérie parisienne, est victime de harcèlement scolaire. Premier en rédaction, il est traité de « sale juif » par certains de ses « camarades ». Pour y échapper, il décide de faire l’école buissonnière. Rien ne l’arrête, même pas son amour secret pour sa cousine Paula.
Le jeune Raoul se retrouve plongé dans le Paris des années 1960, son métro, ses pissotières, Barbès, la gare du Nord, le boulevard Saint-Michel. Il multiplie les rencontres inquiétantes ou merveilleuses.
Dans la presse
« Tous ceux qui ont envie de repenser à l’adolescent qu’ils furent, au jeune âge et à ses doutes, ses émerveillements, sa naïveté et sa malice, sa curiosité, ses peurs, liront ce livre avec délice » (Alice Ferney). Lire la chronique.
« La leçon de Gattégno, quant à elle, vient rappeler, ce qui n’est jamais inutile, qu’un air n’est rien sans ses variations » (Pierre Ahnne). Lire la chronique.
« Un hymne à la jeunesse, à sa gravité et à sa quête existentielle » (Evlyne Leraut). Lire la critique.
« Jean-Pierre Gattégno se glisse dans la peau de Raoul Sevilla, un jeune Juif en pleine crise d’adolescence » (Jean-Claude Perrier). Lire la chronique.
« À travers ces rencontres imprévues, Gattégno offre à son jeune héros la matière qui fait les bons livres » (Carol Binder). Lire la chronique.
« Grandir juif en France après la Shoah ou l’étrange journée de Raoul Sévilla » (Nathalie Zajde). Écouter la chronique.
« L’Étrange journée de Raoul Sévilla, de Jean-Pierre Gattégno, ou comment quitter l’enfance en moins de 24 h » (Jean-Paul Brighelli). Lire la chronique.
Jean-Pierre Gattégno répond aux questions d’Ariane Singer pour AkademTV. Voir l’interview.
