L’arrière-saison des lucioles
Présentation du récit
L’écrivain, qui exerce sa plume depuis près de cinquante ans, prend conscience du temps passé. Il nous entraîne dans une balade à travers le monde littéraire, avec un style alerte où chaque anecdote fait revivre un peu de la littérature oubliée. On y croise aussi bien Richard Wright que Rachel Ertel, Freud, Francis Ponge qu’Hélène Cixous.
À travers ce récit très personnel, Henri Raczymow réveille, dans une langue élégante et précise, toujours avec un brin d’autodérision, un monde littéraire qu’il voudrait tellement ne pas voir oublié.
Cet effleurement est un peu, pour ce spécialiste de Proust, sa recherche d’un temps perdu.
Dans la presse
« Les goûts et les douleurs d’un mémorialiste nonchalant mais précis » (Claire Devarrieux). Lire la chronique.
« Lire Raczymow, c’est se promener en compagnie d’un homme intelligent, drôle, cultivé » (Frédéric Beigbeder). Lire la chronique.
« Mais il y a surtout beaucoup d’amour, d’intelligence, d’humour, de sincérité, un sentiment de familiarité immédiat. Une grande délicatesse aussi quand il s’agit de décrire la douleur de la perte, le rôle des vivants dans leur rapport aux absents. » (Olivier Hervé). Lire la chronique.
Interview de l’auteur par Nicolas Zomersztajn. Lire l’interview.
« Un récit autobiographique de l’écrivain Henri Raczymow, grand admirateur de Proust » (Myriam Anissimov). Lire la chronique.
« Ce kaléidoscope est une rencontre précieuse avec Henri Raczymow. Les chemins de traverse sont des arcs-en-ciel, des aurores boréales, ce qui persiste et assigne à la vraie beauté du verbe. Ici, tout est connivence et renaissance. » (Evlyne Léraut). Lire la chronique.
Henri Raczymow interviewé par Sandrine Szwarc. Écouter l’interview.
« un récit très personnel où chaque lecteur retrouvera des aspects de sa propre histoire ». Lire la chronique.