Beyrouth entre parenthèses
Présentation du roman
Il est défendu à un citoyen libanais de se rendre en Israël. Mais le narrateur, un jeune photographe franco-libanais, décide d’enfreindre la loi de son pays et ne pas suivre l’avis de sa famille. Arrivé à l’aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv, il subit un interrogatoire de plusieurs heures. Les questions fusent et se répètent. « Comment s’appelle votre mère ? Comment s’appelle votre père ? Comment s’appelle votre grand-père ? Comment vous appelez-vous ? » Des questions qui reviennent comme une berceuse et qui voudraient obliger le narrateur à se définir de manière définitive. Lui qui avait pensé faire ce voyage pour mettre de côté sa part libanaise, mettre Beyrouth entre parenthèses…
Après Le nez juif, Sabyl Ghoussoub revient avec le récit de ce voyage interdit, un livre plein d’humour, de tendresse et parfois de colère.
Beyrouth entre parenthèses existe également en poche.
Dans la presse
« Il suffit de se plonger dans ce court récit à la fois hilarant et cruel pour comprendre que Beyrouth est omniprésent dans l’univers de l’auteur » (Alexandra Schwartzbrod). Lire toute la chronique.
« « L’humour et la verve font le sel de ce texte » » (Muriel Steinmetz). Lire toute la chronique.
« Insuffler de l’humour en lieu et place du drame » (Marianne Payot). Lire toute la chronique.
« Un livre comique ? Je prends ça pour un compliment ! » Écouter tout l’entretien avec Bintou Simporé.
« Touche-à-tout, du théâtre à la photo et au journalisme, Sabyl Ghoussoub envoie, dans un deuxième roman transgressif, un Libanais visiter Israël » (Jean-Claude Perrier). Lire le portrait.
« Oui, je suis allé en Israël ». Visionner tout l’entretien.
« Un livre bouleversant et édifiant » (David Rofé-Sarfati). Lire toute la chronique.
« Laissez-vous porter par ce voyage insolite, parfois partial, par un homme qui a pensé faire ce voyage pour mettre de coté sa part libanaise, mettre Beyrouth » entre parenthèses « . » (Michèle Lévy). Lire toute la chronique.
« À travers une « nostalgie contemporaine, une nostalgie du présent », Beyrouth entre parenthèses parvient à nous faire ressentir tout le paradoxe à habiter là, à continuer à ne jamais se définir que dans la tentation de l’ailleurs. » Lire toute la chronique.
« Un roman à mettre entre les mains de ceux qui pensent que l’humour est la politesse la plus raffinée du désespoir. » (Fadwa Miadi) Lire toute la chronique.
« Voilà un court roman nostalgique et spirituel qui nous parle avec subtilité de l’identité, le cœur en guise de passeport et les mots comme passe-murailles » (Aline Serba) Lire toute la chronique.
« L’humour, la verve, la rapidité et l’élégance de l’écriture font de la lecture de ce court roman un vrai moment de plaisir » (Sonia Dayan-Herzbrun). Lire toute la chronique.
« Une véritable bouffée d’oxygène dans cette rentrée » (Ariane Bois). Lire toute la chronique.