« J’ai longtemps pensé que le yiddish était une langue d’intérieur, comme des chaussons ou une robe de chambre. »
À travers des réminiscences du Paris de l’après-guerre, Talila évoque son enfance de fille d’immigrés juifs polonais qui ont choisi de vivre malgré la perte des leurs dans le Génocide. Elle rend hommage à des gens simples, tournés vers l’avenir, pleins d’énergie et porteurs d’une langue — le yiddish — à offrir à leurs enfants.
Elle dépeint l’atelier de confection de son père, les déjeuners du dimanche autour de la table du salon, les cris, les disputes, les pleurs, les rires.
Ces textes d’une profonde humanité ont accompagné ses récitals et les accompagnent encore.
En 2011, ils ont été publiés aux éditions Naïve. Talila ajoute ici une dizaine d’inédits.
Notre langue d’intérieur (l’antilopoche)
7,95 €
« J’ai longtemps pensé que le yiddish était une langue d’intérieur, comme des chaussons ou une robe de chambre. »
À travers des réminiscences du Paris de l’après-guerre, Talila évoque son enfance de fille d’immigrés juifs polonais qui ont choisi de vivre malgré la perte des leurs dans le Génocide. Elle rend hommage à des gens simples, tournés vers l’avenir, pleins d’énergie et porteurs d’une langue — le yiddish — à offrir à leurs enfants.
En 2011, ils ont été publiés aux éditions Naïve. Talila ajoute ici une dizaine d’inédits.
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